Appels à Projets

Le concours annuel Conter et Rencontrer les Sciences est organisé par l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) – Europe Occidentale. Dans un format entièrement numérique, il est destiné à récompenser le meilleur contenu de vulgarisation scientifique rédigé en langue française par de jeunes chercheurs ou doctorants ayant déposé et/ou soutenu leur thèse depuis moins de cinq ans au sein d’un établissement d’enseignement supérieur et de recherche membre de l’AUF – Europe Occidentale.

La Fondation Flora Blanchon décerne un prix annuel destiné à aider à la publication d’une thèse portant sur l’Extrême-Orient (notamment la Chine et les pays voisins). Le montant du prix est fixé à 2 000 €. Son versement sera effectué à l’éditeur de l’ouvrage primé, selon des conditions fixées par voie de convention, et sous réserve de sa parution dans un délai de trois ans maximum après son obtention. Les lauréats du prix Flora Blanchon sont invités à rendre compte annuellement de l’avancement de la publication de leur thèse.

Cet appel s’inscrit dans le cadre du programme de recherche japonais CREST, créé afin de soutenir des objectifs de recherche prioritaires pour le Japon. Ce programme soutient la recherche collaborative dont les résultats constitueront les fondements de ruptures scientifiques et technologiques. Les propositions devront être portées conjointement par un coordinateur japonais et un coordinateur français et seront évaluées par l’ANR et la JST, successivement. L’ANR financera les équipes françaises avec une demande d’aide maximale de 500 k€ par projet, montant d’aide qui doit être adapté au nombre de partenaires français et à l’ambition du projet, pour une durée de 5 ans. Les consortiums franco-japonais devront avoir déposé leur dossier scientifique à l’ANR avant le 07 juin 2024 à 10h00 (CEST), ainsi que sur le site JST-CREST avant le 30 juin 2024 à 12h00 (UTC+9).

Ces appels sont ouverts pour une durée de 3 ans à compter du 15 décembre 2023.

En lien étroit avec la « vallée de la batterie » qui est en plein essor avec l’installation de nombreuses GigaFactory en Hauts-de-France, un appel à manifestation d’intérêts concernant le cycle de vie de la batterie est lancé. Différents acteurs du territoire vont ainsi échanger sur l’usage durable, le réemploi, et l’écoconception des batteries, tout en tenant compte de leur fin de vie.

Élément clés dans le processus de décarbonation et de transition des modes de déplacement, le secteur de la batterie joue un rôle essentiel dans la transformation des Hauts-de-France via la dynamique rev3. Ces échanges pourront conduire au financement de projets concrets dans ce domaine via les fonds régionaux ou européens.

Ces appels sont ouverts pour une durée de 3 ans à compter du 15 décembre 2023.

Le CO2 apparait comme une ressource sous-utilisée en Hauts-de-France. Pour développer de nouveaux usages, la Région lance un appel à manifestation dédié. Différentes entreprises, association ou collectivités sont invitées à échanger autour des enjeux de la valorisation du CO2.

Ces échanges pourront mener à la création d’éco-procédés innovants, de nouvelle boucle de valeur ou d’opportunité d’usage grâce au partage de connaissances. Les projets qui émaneront de ces échanges pourront prétendre à un éventuel soutien de la Région au travers de ses fonds régionaux ou européens.

Ces appels sont ouverts pour une durée de 3 ans à compter du 15 décembre 2023.

Considéré comme l’un des secteurs le plus émetteur de gaz à effet de serres, le secteur du bâtiment doit se tourner vers des solutions plus durables. Différents acteurs du territoire pourront échanger sur le processus de réhabilitation et de fabrication des bâtiments et notamment le recours à une production et une gestion plus sobre en ressources.

L’augmentation du recyclage, l’innovation dans les domaines dans lesquels les matières pourraient manquer, l’industrialisation du réemploi et l’optimisation des ressources seront au cœur de ces échanges.

La Coopération européenne en science et technologie (COST) crée des espaces ouverts où les personnes et les idées peuvent se développer.

COST finance des réseaux de recherche interdisciplinaires appelés COST Actions. Ces actions rassemblent des chercheurs, des innovateurs et d'autres professionnels, y compris des spécialistes de l'industrie, basés en Europe et au-delà, pour collaborer sur des sujets de recherche pendant une période de 4 ans.

France > Lettonie

France > Croatie

France > Afrique du Sud

Dans ce cadre, l’ANR s’associe au consortium afin de lancer un appel à projets transnational conjoint pour le financement de projets de recherche innovants abordant les 3 thèmes :

• Approches efficaces de la comptabilité de l'eau en situation de crise : changement climatique et chocs externes ;

• Revitaliser les pratiques agroforestières pour une utilisation durable des terres et la résilience climatique dans la région méditerranéenne ;

• Tirer parti des systèmes alimentaires urbains et locaux pour une transformation durable des systèmes alimentaires.

Seuls les projets transnationaux seront financés. Le consortium doit être composé d’au moins quatre entités juridiques établies dans au moins trois pays différents parmi ceux qui participent à l’appel à projets. Ces entités juridiques doivent être indépendantes les unes des autres et établies de la façon suivante :

• Au moins une de ces entités doit être établie dans un pays de l’Union européenne participant à l’appel, ou dans un pays associé à Horizon 2020 participant à l’appel et hors MPC (Mediterranean Partner Countries / Pays partenaires méditerranéens). Dans le cadre de cet appel, les pays remplissant ces conditions sont les suivants : Allemagne, Croatie, Chypre, Espagne, France, Grèce, Italie, Luxembourg, Malte, Portugal, Slovénie. Cela inclut les pays et territoires d'outre-mer (PTOM) liés aux États listés ;

• Au moins deux de ces entités doivent être établie dans l’un des MPC : Algérie, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Tunisie et Turquie.

L’objectif de cet appel à projet est le soutien à des axes de recherche fondamentale et appliquée qui permettront d’identifier et de lever les verrous dans la conception et le développement d’emballages dont l’alimentarité (innocuités toxicologique, éco-toxicologique et microbiologique) sera garantie, même en cas de réduction, de recyclage, de réemploi et de vente en vrac, tout en garantissant leurs fonctionnalités spécifiques garantissant la durée de vie et la qualité ad hoc de l’aliment au contact, en lien avec les attentes des consommateurs.
Les projets attendus auront une durée de 18 à 48 mois, pour des aides de 1 à 3 M€.